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A Lille, mesurer la proportion de surfaces favorables à la biodoversité

En quoi cette action contribue à l'adaptation au changement climatique ?

La Métropole de Lille instaure un coefficient de biotope dans un PLU pour garantir un niveau de végétalisation des espaces urbanisés qui contribue, au-delà des effets rafraîchissant l’été, à l’amélioration du cadre de vie des habitants et à la préservation de la biodiversité.

Description détaillée

Les services de la collectivité mettent à disposition des communes, pour atteindre cet objectif, un outil technique de calcul de coefficient de biotope qui sert de cadre d’exigence pour favoriser la biodiversité lors de toute nouvelle construction ou de toute requalification urbaine.

A chaque mètre carré nouvellement construit en zone urbaine correspond non seulement une obligation réglementaire de maintien de la biodiversité mais aussi un score, attribué en fonction du degré de biodiversité reconquise. Si pour compenser l’artificialisation du sol lors de la construction d’un nouvel immeuble, le porteur du projet prévoit une compensation en terme de plantation d’arbres en pleine terre, le coefficient de biotope par surface sera l’un des plus élevé. En revanche, si la compensation s’opère en terme de pavage aux joints enherbés, le coefficient de biotope par parcelle sera moindre.

Caractéristiques

Type d'action
Projets locaux
Thématique
Biodiversité
Territoire
Hauts-de-France
Impact
Canicules
Hausse de la température moyenne
Localisation de l'action
Lille Métropole
Date de début

50.6305089, 3.0706414

A Lille, mesurer la proportion de surfaces favorables à la biodoversité