Chute de la biodiversité marine, trait de côte en recul et submersions marines : ces phénomènes ne sont pas nouveaux mais s'accélèrent, avec le changement climatique, conduisant à la dégradation progressive du littoral.
Face à l'explosion des catastrophes climatiques, certains biens vont s'avérer très difficiles voire impossibles à assurer d'ici 2050. Selon un nouveau stress-test climatique, la Bretagne Nord et les côtes méditerranéennes seraient principalement concernées.
Une équipe de scientifiques publie de nouveaux résultats dans Conservation Biology, sur l'impact des changements climatiques à venir sur la biodiversité du bassin méditerranéen.
Des actions visant à « protéger, gérer de manière durable et restaurer des écosystèmes naturels ou modifiés pour relever directement les défis de société de manière efficace et adaptative, tout en assurant le bien-être humain et en produisant des bénéfices pour la biodiversité ».
La commune littorale de Criel-sur-Mer est régulièrement confrontée à l’effondrement de falaises qui menacent des habitations à proximité. Dans ces cas-là, elle achète le bien puis procède à sa démolition. Ensuite, le fonds d’indemnisation des risques naturels, dit Barnier, rembourse la (…)
0,76 centimètres en seulement un an, entre 2022 et 2023. La hausse peut paraître faible mais c’est en réalité un « bond important » du niveau des océans, a alerté la Nasa, le 21 mars. Et cela va nécessiter de s’adapter.
Avant de présenter le Plan d'adaptation au changement climatique, Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, rappelle les enjeux majeurs de l'adaptation de nos territoires littoraux face aux effets conjugués du recul du trait de côte et de (…)
Le Comité National Trait de Côte (CNTC) a engagé des réflexions visant à améliorer les moyens d'action pour adapter les territoires littoraux aux effets du changement climatique. Des propositions seront formulées sur un modèle de financement.
Les territoires littoraux sont aujourd'hui pris dans la contradiction entre un risque d'érosion important et des prix du marché immobilier très élevés, liés à l'attractivité croissante du littoral.
Frappé par la montée des eaux et des tempêtes à répétition, le village de Miquelon, situé à quelques kilomètres de la frontière canadienne, est le premier territoire français à subir un grand déménagement.