Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, a présenté le « Pacte en faveur de la haie ». Les haies présentent de nombreux intérêts, notamment en termes de préservation de la biodiversité et d’adaptation aux effets du changement climatique.
l'Inrae Occitanie annonce le lancement d'un projet de nouvelles variétés de tournesol adaptées au changement climatique baptisé "Projet Horizon Europe HelEx". Il réunit 18 partenaires économiques et scientifiques, de 9 pays et est financé par l'Union européenne : 5,5 M€.
Doté de 20 millions d'euros, le projet PYRENEES4CLIMA vise à mettre en œuvre la première stratégie européenne sur le changement climatique spécifiquement conçue pour une bio-région de montagne et transfrontalière.
L'élevage porcin peut contribuer à réduire son impact sur le climat et s'adapter au changement climatique. L'IFIP (institut du porc) accompagne l'adaptation des exploitations porcines au changement climatique.
Pierre Olivier Garcia, maître de conférences à l'Institut d'urbanisme et de géographie alpine , revient avec nous sur son étude de La Grave en moyenne montagne : une station alternative confrontée aux enjeux de la transition par temps de crises (Echosciences-Grenoble).
Ce Pacte 2022-2027 décline les objectifs du Varenne agricole de l’eau et de l’adaptation au changement climatique pour chaque partenaire (Etat, Régions, agriculteurs, recherche agronomique) pour un accès à une eau de qualité et une production agricole viable. Source: (…)
La fragilité des productions fait que le secteur de l’arboriculture est aujourd’hui le premier concerné par le réchauffement climatique. Axa Climate et la FNPF ont réalisé une étude afin de sensibiliser les producteurs aux risques climatiques à horizon 2030.
Les conséquences du réchauffement climatique sont déjà visibles en montagne et affectent le tourisme. Une expérimentation nationale sur 7 territoires pilotes a été menée par l’ADEME pour imaginer des stratégies d’adaptation (source : Parc national des écrins).
Face au changement climatique, les agriculteurs ont recours à différentes stratégies d’adaptation. Tout d’abord de long terme, pour anticiper la survenue possible des sécheresses futures et de court terme, pour réagir aux sécheresses déjà survenues.
Le niveau des nappes phréatiques est bas. Cette situation interroge la pérennité des « méga-bassines », à destination de l'agriculture, qui puisent l'eau dans les sols en période de pluie avant qu'elle ne s'infiltre jusqu'aux nappes afin de la redistribuer plus tard dans l'année.