Le changement climatique menace les services écosystémiques exceptionnels des montagnes. Face à ce constat, c’est toute une stratégie d’adaptation qui doit se mettre en place pour penser l’avenir des montagnes.
Le 2 février le Conseil national de la montagne s’est réuni à propos de l’avenir de la montagne face au changement climatique. L’occasion de faire le point sur les 482 projets de transformation engagés dans les territoires.
L'heure n'est plus aux lamentations sur le manque de neige, mais aux changements. Il faut oser un vrai virage au bénéfice de l'environnement et accepter un avenir moins lucratif en montagne. Des solutions existent, encore en tests, mais elles ont été explorées dans ce dossier.
Une nouvelle étude du CNRS révèle une perte de masse des glaciers plus forte que prévue. Selon leurs travaux, cette perte augmente de 11% à 44% par rapport aux précédentes projections, notamment celles ayant alimenté le dernier rapport du GIEC.
La signature de la Convention interrégionale des Alpes (CIMA) 2021-2027 par l'État, les régions Sud et Auvergne-Rhône-Alpes et l'Agence de l'eau Rhône-Méditerranée-Corse a mobilisé plus de 250 millions d'euros pour la montagne, notamment pour s'adapter au changement climatique.
Jusqu'au 9 décembre 2022, vous pouvez candidater pour permettre à votre projet ou solution d'être référencée sur la plateforme AdaptaVille, et intégrer une communauté d'acteurs qui se retrouve autour d'événements réguliers (visites, ateliers, rencontres annuelles).
Revivez cet événement, organisé le 3 octobre, par Grenoble-Alpes Métropole et le Pôle Alpin Risques Naturels. La rencontre a mobilisé plus de 150 acteurs (élus, services techniques, partenaires forestiers, communauté scientifique, etc).
Alors que l'outil SESAME d'accompagnement du choix des espèces végétales à planter en ville se déploie en France, le Cerema a organisé le 26 septembre une journée d'information à ce sujet dans les Bouches-du-Rhône. Et lancé une communauté d’échange locale.
D’ici 2050, 71% des espèces d’arbres en situation de risque à Paris, Bordeaux, Montpellier, Grenoble et Lyon, selon cette équipe scientifique internationale.
Les vagues de chaleur et les canicules sont de plus en plus fréquentes, intenses, durables et précoces. Le monde du « tout automobile » a conduit à la péri-urbanisation et a accompagné la multiplication des Ilots de chaleur urbains.