Le risque d'inondations progresse dans la métropole de Grenoble avec le changement climatique. Un enjeu qui impose à la métropole d'adapter son économie, et notamment son industrie.
À l’aune du zéro artificialisation nette, les collectivités et EPCI doivent construire une stratégie de nature en ville basée sur la préservation et la renaturation des sols.
Jusqu'au 9 décembre 2022, vous pouvez candidater pour permettre à votre projet ou solution d'être référencée sur la plateforme AdaptaVille, et intégrer une communauté d'acteurs qui se retrouve autour d'événements réguliers (visites, ateliers, rencontres annuelles).
Revivez cet événement, organisé le 3 octobre, par Grenoble-Alpes Métropole et le Pôle Alpin Risques Naturels. La rencontre a mobilisé plus de 150 acteurs (élus, services techniques, partenaires forestiers, communauté scientifique, etc).
Alors que l'outil SESAME d'accompagnement du choix des espèces végétales à planter en ville se déploie en France, le Cerema a organisé le 26 septembre une journée d'information à ce sujet dans les Bouches-du-Rhône. Et lancé une communauté d’échange locale.
D’ici 2050, 71% des espèces d’arbres en situation de risque à Paris, Bordeaux, Montpellier, Grenoble et Lyon, selon cette équipe scientifique internationale.
Les tourbières, sont des milieux humides où les plantes se décomposent lentement et où le carbone est stocké. Elles sont mondialement menacées ce qui contribue aux changements climatiques. Leur dégradation cause environ 5 % des émissions globales de gaz à effet de serre.
Les vagues de chaleur et les canicules sont de plus en plus fréquentes, intenses, durables et précoces. Le monde du « tout automobile » a conduit à la péri-urbanisation et a accompagné la multiplication des Ilots de chaleur urbains.
Sécheresses, canicules, inondations, pluies diluviennes... Face à ces enjeux, Paris met en place un nouveau diagnostic qui met en exergue ses points forts et ses vulnérabilités, et installe des ombrières.