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Selon un rapport de Météo-France, la France devrait connaître un réchauffement climatique de 4 °C en 2100. Des conditions qui devraient accentuer la sécheresse et les vagues de chaleurs avec un impact sur le quotidien, la biodiversité et les activités économiques (francetvinfo.fr). (…)

Les scientifiques constatent que le vivant, à l’échelle de l’arbre, de la forêt ou de l’essence d’arbre, est capable d’étonnants processus d’adaptation. Mais ces derniers suffiront-ils face au changement climatique en cours ? (source : theconversation).

La ministre de la Transition écologique annonce les priorités du Gouvernement pour l’adaptation et la résilience de nos montagnes et nos glaciers (source : ecologie.gouv).

Les Nations unies ont fait de 2025 l'année internationale de la préservation des glaciers. Ce vendredi est la première journée mondiale consacrée à ces écosystèmes menacés par le réchauffement climatique (source : Franceinfo).

Avec la disparition des glaciers sous l’effet du changement climatique, c’est bien plus que de l’eau qui disparaît. En effet, les ruisseaux et rivières qu’ils alimentent abritent une diversité microbienne méconnue.

Des scientifiques d’INRAE et de l’Anses ont étudié l’évolution de la végétation des bordures de champs de 500 parcelles agricoles en France pour comprendre les effets du changement climatique et des pratiques agricoles sur ces plantes (source : inrae).

Plusieurs virus piscicoles particulièrement agressifs trouvent des conditions favorables à leur multiplication et à leur dissémination compte-tenu du changement climatique.

Le Métatron aquatique, installation unique en son genre, permet d’étudier, sur le long terme, les effets combinés du changement climatique et de la fragmentation de l’habitat sur les écosystèmes aquatiques. Initié par l’AnaEE France (Analyses et Expérimentations sur les Ecosystèmes (…)

La Liste rouge des écosystèmes en France évalue pour la première fois les forêts de montagne de l'Hexagone et de Corse.

Remplacer progressivement les forêts françaises par des plantations d'espèces censées être plus résilientes face au changement climatique. L'idée fait du chemin. Mais ce remède ne risque-t-il pas d'être pire que le mal ? (source : theconversation).