Dans une France à +4 °C d'ici à 2100, le risque de feu se généralisera à l’ensemble du pays avec une forte aggravation dans la région méditerranéenne. La saison des feux pourrait durer 1 à 2 mois supplémentaires dans certaines régions. (meteofrance.com)
De fin mai à fin août, le gouvernement lance sa campagne de prévention des feux de forêt et de végétation. Son objectif : sensibiliser les citoyens et les touristes aux gestes pour éviter les départs de feu et se protéger efficacement (ecologie.gouv.fr).
Renoncer à son footing parce qu'il fait plus de 30 degrés, en raison d'un risque d'incendie ou de pollution, ne plus pagayer parce que la rivière est à sec ou en crue : le changement climatique touche les pratiques sportives au quotidien (linfodurable.fr).
Selon un rapport de Météo-France, la France devrait connaître un réchauffement climatique de 4 °C en 2100. Des conditions qui devraient accentuer la sécheresse et les vagues de chaleurs avec un impact sur le quotidien, la biodiversité et les activités économiques (francetvinfo.fr).
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Les scientifiques constatent que le vivant, à l’échelle de l’arbre, de la forêt ou de l’essence d’arbre, est capable d’étonnants processus d’adaptation. Mais ces derniers suffiront-ils face au changement climatique en cours ? (source : theconversation).
Remplacer progressivement les forêts françaises par des plantations d'espèces censées être plus résilientes face au changement climatique. L'idée fait du chemin. Mais ce remède ne risque-t-il pas d'être pire que le mal ? (source : theconversation).
Le Plan national d'adaptation des pratiques sportives au changement climatique (PNACC Sport) a été publié à la fin du mois de décembre par le ministère des Sports. Plusieurs mesures à mettre en place d'ici 2030 concernent les collectivités (source : Maire-info).
Les phénomènes climatiques de plus en plus fréquents n'épargnent pas un tourisme à vélo durable mais vulnérable. Comment gérer ces crises et anticiper au mieux ?
Ce reportage diffusé avec LeMonde.fr nous emmène dans le Luberon, où des scientifiques réduisent la mortalité des arbres en améliorant leurs interactions par les racines avec les bactéries et champignons.