Déménager pour éviter de trop subir les aléas du changement climatique, nous sommes nombreux à y avoir songé un jour. La région de prédilection à laquelle nous pensons alors est souvent la Bretagne. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?
Au regard de l’ampleur et de la vitesse du dérèglement climatique, l’adaptation des exploitations agricoles au changement climatique est indispensable et à mener en parallèle de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et du stockage de carbone.
L’Union régionale pour l’habitat, l’Agence de l’eau Artois-Picardie et la Banque des Territoires renforcent leur accompagnement des bailleurs sociaux pour une gestion durable de l’eau (eau-artois-picardie.fr).
Le Cerema a organisé le 21 novembre une conférence technique sur le thème : "Imaginer l'école de demain". Concentrée sur les enjeux : gestion du bâti, végétalisation des cours d'école et apaisement des abords (cerema.fr).
Un an après la tempête Ciaran qui a frappé la Bretagne, le gestionnaire de réseau électrique Enedis a dévoilé son projet pour renforcer le réseau breton. Il souhaite le rendre plus robuste et l'adapter le plus rapidement possible au changement climatique. Son nom : "Reconstruction (…)
Les arbres et les haies constituent une mesure d'adaptation des systèmes agricoles face au changement climatique. Zoom sur les résultats récents d'une étude en exploitations bovines dans le Nord-Pas de Calais.
Le Cerema a accompagné le département du Lot dans la réalisation d'un diagnostic des vulnérabilités de son territoire, pour faire face aux aléas climatiques. Cette vision du territoire à 360° a abouti à l'élaboration de pistes de stratégie sur chacune des vulnérabilités.
La Bretagne a certes connu des sécheresses estivales sévères de par le passé (1976, 1989, 2003, 2011, 2017). Mais malgré sa réputation de région humide, ces événements historiquement rares semblent devenir de plus en plus fréquents.
Face à l'explosion des catastrophes climatiques, certains biens vont s'avérer très difficiles voire impossibles à assurer d'ici 2050. Selon un nouveau stress-test climatique, la Bretagne Nord et les côtes méditerranéennes seraient principalement concernées.
La mairie de Toulouse intensifie ses actions pour aider, dès cet été 2024, les habitants à faire face aux canicules et adapter la ville au dérèglement climatique, dans le cadre de son plan fraîcheur.