Alors que l'outil SESAME d'accompagnement du choix des espèces végétales à planter en ville se déploie en France, le Cerema a organisé le 26 septembre une journée d'information à ce sujet dans les Bouches-du-Rhône. Et lancé une communauté d’échange locale.
D’ici 2050, 71% des espèces d’arbres en situation de risque à Paris, Bordeaux, Montpellier, Grenoble et Lyon, selon cette équipe scientifique internationale.
Des études publiées en août montrent un vieillissement accéléré des espèces, lié au réchauffement climatique. L’interview de Nicolas Dubos, chercheur en écologie.
La Maif vient de mettre en ligne un simulateur de risques climatiques, pour que chacun puisse estimer les risques d’inondation, de séisme, de tempête, ou encore les risques écologiques autour de sa maison.
Initié par le Cerema et la ville de Metz, Sésame propose une base de données de 400 essences pour aider les aménageurs à sélectionner les espèces en fonction de leurs services rendus et du climat de demain. Ce cahier présente la méthode.
L'Ifremer analysera des coraux prélevés à 800 m de profondeur au large de la Bretagne et les exposera à différentes conditions de température et d'acidité afin d'estimer leur capacité d'adaptation face au changement climatique.
Les tourbières, sont des milieux humides où les plantes se décomposent lentement et où le carbone est stocké. Elles sont mondialement menacées ce qui contribue aux changements climatiques. Leur dégradation cause environ 5 % des émissions globales de gaz à effet de serre.
Le projet LIFE Eau&Climat, a été présenté et les différents outils que les structures porteuses de SAGE utilisables pour mieux intégrer la problématique du changement climatique dans la gestion de la ressource.
Alors que les Solutions d'adaptation fondées sur la Nature se développent et démontrent leur pertinence, le Cepri vient de publier un guide qui présente les solutions pour prévenir les risques d'inondations : ... décryptage.
Des records de températures ont été enregistrés en Méditerranée en juillet 2022. Des épisodes anormalement chauds ont été observés dans l'océan dernièrement. Ces « canicules océaniques » s'ajoutent au réchauffement climatique et causent des dégâts irréversibles à la biodiversité.